22 juin : Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe

Par Coordination CPTSBérange
Le 15 mai 2025
 
 

L’Agence de la biomédecine se bat pour que cette journée devienne le jour où tous les Français disent à leurs proches s’ils sont donneurs d’organes après leur mort.

La grande majorité de la population (80%) est favorable à ce don, 91 % pensent qu’il est important de faire part de sa position à ses proches, mais seulement 47% en ont effectivement parlé…

Pourtant, cet échange est vital. Si le sujet n’avait jamais été abordé, dans le doute, les proches rapportent par prudence une opposition, si bien que 1 prélèvement sur 3 est ainsi empêché. Autant de vies qui auraient pu être sauvées qui ne le sont pas… Sachant que 5 à 7 personnes peuvent bénéficier d’une greffe d’organe vitale, pour chaque donneur décédé prélevé.

Rappelons bien sûr qu’en France, la loi indique que nous sommes tous donneurs d’organes et de tissus. Chacun est donc présumé donneur. Donc, si vous n’êtes pas inscrit sur le registre national des refus, c’est vers vos proches que les équipes médicales se tourneront au moment du décès pour s’assurer que vous n’aviez pas, de votre vivant, exprimé une opposition au don d’organes et de tissus.

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L’Agence de la biomédecine se bat pour que cette journée devienne le jour où tous les Français disent à leurs proches s’ils sont donneurs d’organes après leur mort.

La grande majorité de la population (80%) est favorable à ce don, 91 % pensent qu’il est important de faire part de sa position à ses proches, mais seulement 47% en ont effectivement parlé…

Pourtant, cet échange est vital. Si le sujet n’avait jamais été abordé, dans le doute, les proches rapportent par prudence une opposition, si bien que 1 prélèvement sur 3 est ainsi empêché. Autant de vies qui auraient pu être sauvées qui ne le sont pas… Sachant que 5 à 7 personnes peuvent bénéficier d’une greffe d’organe vitale, pour chaque donneur décédé prélevé.

Rappelons bien sûr qu’en France, la loi indique que nous sommes tous donneurs d’organes et de tissus. Chacun est donc présumé donneur. Donc, si vous n’êtes pas inscrit sur le registre national des refus, c’est vers vos proches que les équipes médicales se tourneront au moment du décès pour s’assurer que vous n’aviez pas, de votre vivant, exprimé une opposition au don d’organes et de tissus.

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