Dépistage du cancer du col de l’utérus : notre CPTS se mobilise

Par Coordination CPTSBérange
Le 15 mai 2025
 
 

 

TROIS QUESTIONS À…

Yann Reynaud & Isabelle Mendez, coordinateurs de CPTS Montpellier Est-Bérange 

Juin vert est l’occasion de porter un regard sur nos actions en matière de prévention / dépistage, notamment du cancer du col de l’utérus. Où en sommes-nous ? Et comment peut-on évaluer le travail accompli par notre CPTS ?

Yann Reynaud : Un repère très clair nous permet d’évaluer la pertinence et l’efficacité de nos actions territoriales de santé. Je fais ici référence aux indicateurs d’actions et de résultats fixés, en début de mission, dans chaque contrat ACI (Accord Conventionnel Interprofessionnel) que nous signons avec l’Assurance Maladie de l’Hérault. Ces fameux indicateurs permettent de mesurer l’intensité des moyens mis en œuvre par notre CPTS, à l’échelle de son territoire, pour atteindre les objectifs. En dépend aussi la part variable de financement alloué par la CPAM à nos futures actions. Je suis heureux, au nom de toute l’équipe, d’annoncer qu’avec un score de 49,6%, nous avons atteint l’indicateur attendu concernant le dépistage du col de l’utérus, dont il est question durant tout le mois de Juin vert.

Isabelle Mendez : Mieux que cela, sur le sujet de la santé des femmes, dont il est plus largement question, nous avons atteint les objectifs sur TOUS nos indicateurs de prévention : cancer du col de l’utérus, mais aussi cancer du sein et cancer colorectal.

Grâce à quelles actions y sommes-nous parvenus ?

Isabelle Mendez : La clé de l’efficacité réside dans plusieurs facteurs, à commencer par un diagnostic de territoire fiable. Cela nous permet de calibrer nos actions en conséquence, d’identifier les besoins exprimés par les territoires. Quels publics ? Quel environnement ? Quelles ressources ? Le travail en équipe est très important. Et puis, bien sûr, le terrain, le terrain, le terrain. 

Yann Reynaud : Isabelle a raison de souligner ce point. La proximité est un atout. Ainsi, si la partie visible de l’iceberg, ce sont les événements publics que nous organisons – comme nos désormais traditionnelles “Journées Santé des femmes” – la partie immergée, c’est tout ce travail de fourmi qui consiste à tisser des liens, à nouer de partenariats, à rencontrer les collectivités, les acteurs de santé, les populations, pour monter des parcours de soin, des opérations de dépistage. Un grand merci à l’ensemble des partenaires, ils se reconnaîtront, qui rendent tout cela possible.

Deux Journées Santé des femmes ont déjà eu lieu depuis le début de l’année. Y en aura-t-il d’autres prochainement ?

Yann Reynaud : Nous étions à Saint-Geniès-des-Mourgues le 12 mars dernier, à Baillargues la semaine suivante (18 mars), et nous serons de retour à l’automne, mobilisés autour d’Octobre Rose, pour de nouvelles journées. Le nom des communes n’est pas encore arrêté.

Isabelle Mendez : Ce qu’on peut déjà annoncer, par contre, c’est que comme à chaque fois, nous mobiliserons un large éventail de professionnels : sages-femmes, infirmières, diététiciennes, médecins généralistes, spécialistes, opticiens, acteurs associatifs et institutionnels… On parlait de prévention et de dépistage tout à l’heure, mais n’oublions jamais cet autre élément essentiel : l’information. Tout part de là, en vérité.

 Vous n’êtes pas encore adhérent de notre CPTS ? Rejoignez-nous gratuitement et simplement en 3 clics !

 
 

 

TROIS QUESTIONS À…

Yann Reynaud & Isabelle Mendez, coordinateurs de CPTS Montpellier Est-Bérange 

Juin vert est l’occasion de porter un regard sur nos actions en matière de prévention / dépistage, notamment du cancer du col de l’utérus. Où en sommes-nous ? Et comment peut-on évaluer le travail accompli par notre CPTS ?

Yann Reynaud : Un repère très clair nous permet d’évaluer la pertinence et l’efficacité de nos actions territoriales de santé. Je fais ici référence aux indicateurs d’actions et de résultats fixés, en début de mission, dans chaque contrat ACI (Accord Conventionnel Interprofessionnel) que nous signons avec l’Assurance Maladie de l’Hérault. Ces fameux indicateurs permettent de mesurer l’intensité des moyens mis en œuvre par notre CPTS, à l’échelle de son territoire, pour atteindre les objectifs. En dépend aussi la part variable de financement alloué par la CPAM à nos futures actions. Je suis heureux, au nom de toute l’équipe, d’annoncer qu’avec un score de 49,6%, nous avons atteint l’indicateur attendu concernant le dépistage du col de l’utérus, dont il est question durant tout le mois de Juin vert.

Isabelle Mendez : Mieux que cela, sur le sujet de la santé des femmes, dont il est plus largement question, nous avons atteint les objectifs sur TOUS nos indicateurs de prévention : cancer du col de l’utérus, mais aussi cancer du sein et cancer colorectal.

Grâce à quelles actions y sommes-nous parvenus ?

Isabelle Mendez : La clé de l’efficacité réside dans plusieurs facteurs, à commencer par un diagnostic de territoire fiable. Cela nous permet de calibrer nos actions en conséquence, d’identifier les besoins exprimés par les territoires. Quels publics ? Quel environnement ? Quelles ressources ? Le travail en équipe est très important. Et puis, bien sûr, le terrain, le terrain, le terrain. 

Yann Reynaud : Isabelle a raison de souligner ce point. La proximité est un atout. Ainsi, si la partie visible de l’iceberg, ce sont les événements publics que nous organisons – comme nos désormais traditionnelles “Journées Santé des femmes” – la partie immergée, c’est tout ce travail de fourmi qui consiste à tisser des liens, à nouer de partenariats, à rencontrer les collectivités, les acteurs de santé, les populations, pour monter des parcours de soin, des opérations de dépistage. Un grand merci à l’ensemble des partenaires, ils se reconnaîtront, qui rendent tout cela possible.

Deux Journées Santé des femmes ont déjà eu lieu depuis le début de l’année. Y en aura-t-il d’autres prochainement ?

Yann Reynaud : Nous étions à Saint-Geniès-des-Mourgues le 12 mars dernier, à Baillargues la semaine suivante (18 mars), et nous serons de retour à l’automne, mobilisés autour d’Octobre Rose, pour de nouvelles journées. Le nom des communes n’est pas encore arrêté.

Isabelle Mendez : Ce qu’on peut déjà annoncer, par contre, c’est que comme à chaque fois, nous mobiliserons un large éventail de professionnels : sages-femmes, infirmières, diététiciennes, médecins généralistes, spécialistes, opticiens, acteurs associatifs et institutionnels… On parlait de prévention et de dépistage tout à l’heure, mais n’oublions jamais cet autre élément essentiel : l’information. Tout part de là, en vérité.

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