Prades-le-Lez : 1er cas de chikungunya autochtone signalé dans l’Hérault

Par Coordination CPTSBérange
Le 16 juin 2025
 

 

Un cas de transmission du virus chikungunya dans l’Hérault chez une personne n’ayant pas voyagé récemment en zone tropicale a été signalé, en cette mi-juin 2025, à l’Agence Régionale de Santé. Il s’agit du premier cas autochtone détecté cette saison en Occitanie, le second en France métropolitaine. L’état de santé de la personne malade n’inspire pas d’inquiétude. 

Pour éviter la propagation du virus localement, des actions préventives sont déployées sur les lieux fréquentés et les lieux de contamination présumés à Prades-le-Lez, à quelques kilomètres seulement de notre CPTS. Des mesures ont été mises en place immédiatement.

Le moustique tigre fait l’objet d’une surveillance renforcée en Occitanie, en raison de sa capacité à transmettre des maladies comme la dengue, le chikungunya ou le Zika.

Pour limiter le risque d’importation et d’implantation de ces maladies, cette surveillance s’accentue chaque année du 1er mai au 30 novembre, période durant laquelle ces moustiques sont le plus actifs.

Les professionnels de santé ont ainsi un rôle clé à jouer : en diagnostiquant et signalant les cas de dengue, chikungunya, Zika ou virus West Nile, ils permettent l’intervention précoce des opérateurs de démoustication et réduisent ainsi le risque de transmission autochtone.

>>> Il est recommandé de rechercher simultanément les trois infections en raison de symptomatologies souvent peu différentiables et d’une répartition géographique superposable (région intertropicale). La prescription doit être accompagnée de la fiche de renseignement cliniques et de renseignements cliniques.

La déclaration des cas à l’ARS par les professionnels de santé se fait selon un procédé bien précis, présenté sur le site de l’ARS Occitanie

> courriel : ars-oc-alerte@ars.sante.fr

Nos patients aussi, ont un rôle à jouer !

La lutte contre le moustique tigre – vecteur potentiel de maladies, s’appuie sur la mobilisation de chacun et l’adoption des bons réflexes pour éliminer les larves de moustiques :

  • Éliminer les endroits où l’eau peut stagner

  • Changer l’eau des plantes et des fleurs au moins une fois par semaine ou, si possible, supprimer

    ou remplir de sable les soucoupes des pots de fleurs

  • Vérifier le bon écoulement des eaux et nettoyer régulièrement : gouttières, regards, caniveaux

  • Couvrir les réservoirs d’eau (bidons d’eau, citernes, bassins) avec un voile moustiquaire ou un simple tissu, couvrir les petites piscines hors d’usage

  • Éliminer les lieux de repos des moustiques adultes : débroussailler et tailler les herbes hautes et les haies, ramasser les fruits tombés et les débris végétaux, réduire les sources d’humidité…

En Occitanie, depuis le 1er mai, ce sont 59 cas importés de chikungunya et 40 cas importés de dengue qui ont déjà été signalés à l’ARS Occitanie.

Photo : Mithil Girish sur Unsplash

 

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Un cas de transmission du virus chikungunya dans l’Hérault chez une personne n’ayant pas voyagé récemment en zone tropicale a été signalé, en cette mi-juin 2025, à l’Agence Régionale de Santé. Il s’agit du premier cas autochtone détecté cette saison en Occitanie, le second en France métropolitaine. L’état de santé de la personne malade n’inspire pas d’inquiétude. 

Pour éviter la propagation du virus localement, des actions préventives sont déployées sur les lieux fréquentés et les lieux de contamination présumés à Prades-le-Lez, à quelques kilomètres seulement de notre CPTS. Des mesures ont été mises en place immédiatement.

Le moustique tigre fait l’objet d’une surveillance renforcée en Occitanie, en raison de sa capacité à transmettre des maladies comme la dengue, le chikungunya ou le Zika.

Pour limiter le risque d’importation et d’implantation de ces maladies, cette surveillance s’accentue chaque année du 1er mai au 30 novembre, période durant laquelle ces moustiques sont le plus actifs.

Les professionnels de santé ont ainsi un rôle clé à jouer : en diagnostiquant et signalant les cas de dengue, chikungunya, Zika ou virus West Nile, ils permettent l’intervention précoce des opérateurs de démoustication et réduisent ainsi le risque de transmission autochtone.

>>> Il est recommandé de rechercher simultanément les trois infections en raison de symptomatologies souvent peu différentiables et d’une répartition géographique superposable (région intertropicale). La prescription doit être accompagnée de la fiche de renseignement cliniques et de renseignements cliniques.

La déclaration des cas à l’ARS par les professionnels de santé se fait selon un procédé bien précis, présenté sur le site de l’ARS Occitanie

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  • Éliminer les endroits où l’eau peut stagner

  • Changer l’eau des plantes et des fleurs au moins une fois par semaine ou, si possible, supprimer

    ou remplir de sable les soucoupes des pots de fleurs

  • Vérifier le bon écoulement des eaux et nettoyer régulièrement : gouttières, regards, caniveaux

  • Couvrir les réservoirs d’eau (bidons d’eau, citernes, bassins) avec un voile moustiquaire ou un simple tissu, couvrir les petites piscines hors d’usage

  • Éliminer les lieux de repos des moustiques adultes : débroussailler et tailler les herbes hautes et les haies, ramasser les fruits tombés et les débris végétaux, réduire les sources d’humidité…

En Occitanie, depuis le 1er mai, ce sont 59 cas importés de chikungunya et 40 cas importés de dengue qui ont déjà été signalés à l’ARS Occitanie.

Photo : Mithil Girish sur Unsplash

 

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